vendredi 17 janvier 2014

Warmachine oú les déboires d'un débutant

Pascal à l’habitude de me faire essayer des jeux sortis de nulle part, aux concepts souvent novateurs mais tout autant étranges, ce qui rend ces jeux très agréables mais durs à maitriser.

Alors quand il propose d’essayer la V.2 de Warmachine pour ressortir mes vieilles figs, je ne peux qu’être content ! « Elles sont rangées en boutique à côté des figurines GW, je vais maitriser ce jeux »… blague.

Un jeu connu de tous (même si pas jouer par tous, loin de là)

Des figurines qui arrivent à se démarquer (à mon goût) de part un style propre et très fin.

Je vois trainer sur les étals de mes boutiques ce jeu depuis des années.

Le plaisir de faire chier l’ami Pascal qui fera l’arbitre, ca n’a pas de prix.

Après une explication de règle houleuse où nos Warjacks - robots faisant le cœur du jeu -pouvaient tout et rien faire d’un tour sur l’autre (je rappelle que je suis totalement de mauvaise foi), mon adversaire Michel et moi avons commencés à comprendre les prémices d’un début de bribe de comment contrôler ces machines… bon ok nous avons plus que peiner. Avec lui 3 figurines et moi 4 nous aurions dû nous en sortir pourtant ! Mais que de tactiques possibles dans ce jeu.

Et c’est là je pense ce qui explique la longévité de ce jeu dans le temps (10 ans) et les critiques (positives) que j’ai pu entendre par ci par là… Que ce jeu est dur !!!

On est dans le « vrai » jeu de figurine, celui qui fait mal à la tête quand l’on fait sa liste, celui qui creuse les neurones quand on joue et celui qui fait dire à la fin de la partie « pfiiouuuuuuuu j’en peux plus ! »

Je ne vais pas résumer Warmachine, trop complexe pour un néophyte comme moi, je vais simplement m’attarder sur une bizarrerie de ce jeu :

MAIS PAR OÙ JE COMMENCE BORDEL?!!

Pour faire simple, on peut commencer à monter une armée soit:

- En achetant un battlegroup (boite de base) pour être sûr de ne pas se tromper sur le choix des figurines (le chef ayant une incidence direct sur le choix de ses troupes).

- En achetant le GROS livret de règles avec à la fin quelques exemples de Battlegroup où l’on peut mieux se pencher sur les pouvoirs des figs.

- En achetant le livre d’armée de celle qui a la meilleure tête (Menoth pour moi).

En achetant le Deck avec toutes les cartes des figurines d’une armée (et il y a du choix).

Mais même avec ca, on ne sait pas quoi choisir… par exemple j’ai acheté un battlegroup mais ne savant pas réellement la manière dont jouer mon chef… je ne sais pas quoi prendre comme Warjacks en plus, alors c’est un coup à prendre c’est sûr mais vu le prix des figurines, il ne vaut mieux pas se tromper sur ses choix ! Les choix sont nombreux, les possibilités quasi infinies…. Bref dur de se dire « Avec ca, c’est bon » surtout lorsque l’on débute.

Mais je pense que c’est cet investissement intellectuel qui rend gratifiant le fait de terrasser un ennemi sur le champ de bataille par la suite.

J’ai donc craqué, revendu une partie de mes figs et racheter une armée Menoth chez Cellules Grises.

Ma première peinture, le Warcaster « High Exemplar Kreoss »

Pour ceux qui hésitaient encore, la peinture de celui-ci n’est pas de moi… le mien viendra demain !

1 commentaire:

  1. Que dire, que dire. Telle une sirène attirant les marins, j'ai séduit Jason et Michel car j'avais envie que ces deux joueurs émérites découvrent ce jeu que j'ai commencé à tenter d'essayer de peut être savoir à peu près jouer.

    Je me suis totalement empêtré dans mes explications sur l'utilisation des points de focus mai à force de patience, les deux lascars ont commencé à comprendre. Je suis parti qu'ils faisaient exprès de rien comprendre à mes explications limpides.

    Jason se posait des questions existentialistes et Michel tentait de faire ce qu'il voulait comme à son habitude (du genre : je tire, je charge, je lance un sort et je recharge et je me retire)

    Bref, j'étais presque aussi épuisé que les deux joueurs...

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